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Mardi 10 février 2 10 /02 /Fév 10:52

Elle s’appelle « Sonia Brown ». Elle fait partie de ces nombreuses femmes mariées frustrées parce que mal baisées. Le sexe et tous ses plaisirs lui manquent cruellement durant des années. Parce que Brown son mari ne voit que sa réussite sociale. Il ne vit que pour son travail, ses amis et son sport préféré, le football. Quand il est à la maison, la chatte de son épouse reste loin d’être sa principale préoccupation. Il reste assis devant la télévision ou son ordinateur jusqu’au moment où gagné par le sommeil, il part au lit dormir. Dommage, car Sonia est une femme assez chaude sur le plan sexuel.

En 30 ans de mariage, Sonia n’a réussi à avoir que deux enfants de son mari alors qu’elle en voulait plus. Pendant trois décennies de mariage, Sonia se contente que de quelques relations sexuelles sporadiques avec son mari. Pour protéger sa dignité de femme mariée, elle préfère les plaisirs solitaires où elle se fait jouir à plusieurs reprises, que ce soit avec ses doigts ou tout ce qui lui tombe sous la main et qu’elle peut glisser dans ses orifices.

Ses séances sont très ritualisées. Elle se met nue ou elle reste en petite tenue sur son lit et, pour s’exciter, elle lit quelques chapitres de romans pornographiques qu’elle achète sans que son mari ne soit au courant. Au bout de quelques pages sulfureuses, sa main descend instinctivement entre ses cuisses et elle commence à se masturber. Ensuite, tout dépend de son humeur et de son excitation ce jour là. Elle peut se contenter de ses doigts et de plusieurs orgasmes clitoridiens successifs ou bien il lui faut des caresses plus perverses. Elle se pénètre alors avec tout ce qu’elle trouve à la maison et qui peut ressembler à une queue : banane, carotte, concombre, etc.

Elle vit dans une telle frustration qu’elle est devenue complètement insatiable. Lorsqu’elle réalise que outre de lire les livres pornographiques et la masturbation, elle peut se donner du bon temps en ayant des dates avec des partenaires sur Internet, c’est en ce moment qu’elle fait ma connaissance grâce à ma page perso sur le web.

Après plusieurs contacts de messages électroniques et de photos érotiques avec Christiane Brown, je la rencontre enfin dans une fête entre amis intimes chez une fiancée d’un copain partageant les mêmes fantasmes que moi. Sur le web, Christiane Brown s’identifie sous le pseudonyme de « Sonia Brown ». Ma correspondante est accompagnée de son mari qui heureusement ignore tout de mes relations avec sa femme à partir de l’Internet. Je dois agir comme si Christiane m’est complètement inconnue.

Toute petite et rondelette, cette canadienne d’origine africaine, a des longs cheveux noirs, de grands yeux bruns très excitants, une bouche avec des lèvres pulpeuses et charnues recouvertes d’un rouge à lèvres brillant. Sonia est habillée d’un costume de satin de couleur écarlate qui s’harmonise bien avec la couleur rouge de ses lèvres et les chaussures rouges qu’elle porte. Très court, ce costume laisse entrevoir les longues cuisses de cette black, très séduisante ce soir. Je la désire ardemment et je la veux à moi.

Après un certain moment, nous nous retrouvons comme par arrangement, Christiane et moi, seuls isolés dans une pièce adjacente, c’est apparemment la salle des jeux des enfants du propriétaire de la maison. Assise face à moi, sur un petit canapé, je lui répète une phrase écrite dans ma dernière lettre.

J’aime quand tu m’écris que tu te « sens comme une femme insatisfaite », Sonia.

Oui, inassouvie, je le suis, Patrick !

J’enchaîne en faisant référence à ses photos qu’elle m’avait expédiées auparavant.

Parlons de tes photos. Simplement, elles sont toutes superbes et à mon goût. Comme tu ne peux pas imaginer, depuis, je tripe fort dessus toutes les nuits.

Qu’est-ce qui te captive le plus ?

Evidemment, tu l’auras deviné, ce sont tes seins qui me fascinent le plus.

C’est tout ?

Aussi, j’aime bien ton visage ; tes grands yeux et tes lèvres pulpeuses qui doivent sucer divinement.

Oh ! Mon dieu, Patrick !

Pour tout conclure, dans ces photos, tu es plus que séduisante.

Voilà, Patrick, nous sommes en live ce soir, n’est-ce pas ?

Oui, en face, je peux mieux apprécier ta beauté. C’est merveilleux pour moi car j’ai toujours un faible pour les femmes de ton genre. Plus je te regarde, plus je réalise que tu es le type de femmes de mes rêves. Pour tout dire, Sonia, tu es simplement une déesse.

Je te remercie pour les compliments, Patrick.

Tu sais, Sonia, je voudrais te serrer dans mes bras et sentir ta chair chaude contre moi. J’en serais ravi ; c’est certain.

Tu peux…

Elle ne termine pas sa phrase que j’enchaîne avec mon baratin.

Sonia, je suis heureux de t’avoir enfin en face de moi. Ainsi, je peux bien te regarder sans l’usage de mon Webcam.

Qu’est-ce que je peux faire maintenant pour te rendre davantage heureux ce soir ?

Cette question est posée au bon moment et je ne voudrais pas rater l’occasion que Christiane me donne de lui demander tout ce que je veux car c’est maintenant ou à jamais, ai-je pensé.

Oui, au lieu de me laisser continuer à deviner sous tes habits la forme et les dimensions de tes jolis seins, voudras-tu, s’il te plaît, me les sortir pour que je les contemple en direct ?

Sans perdre une seule seconde, Christiane s’exécute pour mon plaisir. Ses seins sont encore fermes comme des balles de cricket.

Que veux-tu que je fasse encore pour ton plaisir ?

Tu peux te déshabiller devant moi, s’il te plaît.

Sans gêne ni hésitation, Christiane se découvre totalement mais lentement partie après partie. Comme une espèce de call-girl qui ne vous montre que juste assez pour aguicher son homme, Christiane aime faire le jeu des stripteaseuses. En fait, ce genre de spectacle n’est pas nouveau ni pour elle ni pour moi. Plusieurs fois, elle m’a montré son joli corps nu devant le Webcam. Une seule différence ce soir, je l’ai en direct devant moi et, avec mes mains, je peux afin toucher ce corps toujours très provocant sur l’écran de mon ordinateur.

Voilà, je t’appartiens !

C’est le meilleur jour de ma vie !

Christiane est une femme qui sait se rendre attirante et sensuelle dans ses relations avec les hommes. Par ailleurs, avec ses grands yeux et, les couleurs qu’elle y met, ses lèvres, et le gloss qu’elle y applique pour leur donner un effet de brillance et une couleur subtile, elle se donne l’impression d’être une pute alors qu’en réalité elle ne l’est pas. C’est seulement, à force de n’avoir pas normalement son dû conjugal que Christiane a été poussée à trouver satisfaction autrement ailleurs en passant par l’Internet.

Je peux maintenant t’embrasser dans cette tenue d’Ève ?

Bien sûr que oui, Patrick !

Quand je pose cette question, mon regard se croise avec celui de Christiane déshabillée devant moi, cela m’excite davantage. Ce regard me transmet un message que je décode sans trop de peine. « Je te plais comme ça ?  », semble-t-elle me demander, « embrasse-moi tout de suite », semble-t-elle me dire. Je l’embrasse férocement.

Encore là, ses grosses babines sensuelles et suaves et la belle peau chocolatée me donnent l’envie de lécher son corps, spécialement les joues, les oreilles et le cou, les mordre, sans oublier une descente à la poissonnerie. Je sens sa langue se frotter contre la mienne, elle fouille le fond de ma gorge, pour en ressortir la salive bavant d’excitation. J’écume ses joues, son menton, je frotte mes lèvres contre ses lèvres encore et encore.

Tu peux te mettre debout devant moi, s’il te plaît ! Je veux m’agenouiller pour bien regarder la fente entre tes jambes.

Christiane se met debout devant moi en écartant légèrement les jambes. Je la vois rougir un peu, juste assez pour m’exciter davantage. Elle continue à me jeter un coup d’œil complice. Elle fait comme une vraie salope. Ensuite, je me lève pour sentir les odeurs de ses magnifiques lolos que je veux à présent malaxer, titiller, rouler les têtes entre mes doigts, faire durcir et rendre sensibles. « À l’impossible nul n’est élu », en l’absence d’une belle cravate de notaire, c’est mon visage que je place entre les seins de Christiane. Avec mes mains, je taponne la masse de chair molle mais tellement tendre de ses seins. En tout cas, cette fille a des jolis seins qui ressemblent à des ballonnés de jeu. J’aime beaucoup cette forme. Je m’empresse à les lécher, les sucer, les mordre spécialement au niveau des tétons. Je dévore à pleine bouche les bouts durs entre mes lèvres, les fait rouler sur ma langue, entre mes dents. Je mordille, suce de plus en plus vite et avidement cette chair brune, brûlante et sensible. Je bave dessus. Ma salive se repend sur une bonne partie des seins.

Je remarque que Christiane devient rouge réellement. Elle commence à jouer le jeu de la pute en chaleur. Toujours dévêtue debout en face de moi, mon regard se jette maintenant sur son ventre plat, vraiment très écrasé comme si elle n’avait pas d’estomac. Je touche son petit nombril emprisonné entre deux plis de sa jolie peau de femme noire d’Afrique. Je dirige mon regard au niveau de son bas ventre juste là où commencent ses cuisses bien plantées sur ses fesses et son corps de petite femme. J’aime bien les petites femmes plutôt que les dodues, les obèses. C’est juste un choix ! Les grosses sont aussi belles et bien mais je préfère les minces car, une fois nues, elles vous donnent une vue entière de leur chatte. À présent, je me représente en train de baiser Christiane, cela m’excite davantage. Je n’en peux plus. En effet, je commence à bander dans mon pantalon et ma queue me fait mal. Elle veut sortir et se manifester. Je voudrais que Christiane change de position.

Tu peux maintenant t’asseoir sur le divan, Christiane.

OK ! Patrick.

Assise en face de moi, Christiane garde ses jambes jointes. J’insiste de mon regard pour qu’elle écarte un peu ses cuisses protectrices de sa chatte. Elle ne semble pas déchiffrer mon message. J’ai maintenant chaud ; comme Christiane d’ailleurs. Je constate qu’à l’intérieur de ses cuisses, sa peau est maintenant moite, je le remarque à partir du divan sur le quel elle est assise. Juste au moment où je voudrais lui dire d’écarter ses cuisses, enfin, elle les ouvre un peu, elle même. Je ne sais pas comment Christiane a pu se connecter à moi pour discerner mon besoin. Elle écarte ses cuisses encore un peu plus que maintenant je peux voir son clitoris pris dans la fente de sa vulve. Quelques poils autour de celui-ci et c’est tout. En chaleur comme elle est tout le temps, son clitoris est chargé et prêt à exploser. Cela m’excite terriblement.

Christiane, accepterais-tu que je me mette à quatre pattes pour explorer ton vase ruisselant de mouille ?

Oui, vas-y, Patrick !

À ce niveau, je ne voudrais pas rester plongé dans les rêveries comme si nous étions sur Internet m’imaginant en train d’écarter lentement les cuisses de Christiane alors que je l’ai en face de moi. Ayant donné son accord, je tire le petit tissu de sa vulve et là les grandes lèvres de sa chatte gluantes me glissent entre les doigts. Ouvertes ainsi, je frotte du pouce le clitoris en même temps que j’introduis mes deux doigts bien loin à l’intérieur de son minou. Elle se positionne à son aise. Je la défonce le trou à pisse et elle suit le va-et-vient de mes doigts en bougeant son cul d’avant en arrière. Elle en redemande plus. Christiane commence à s’affoler en respirant plus fort et plus vite. Ses fesses branlent la chamade au rythme des coups de doigts. Elle pousse des petits cris en me serrant la main avec ses cuisses. Elle mouille et elle coule davantage comme une fontaine. Je sens les contractions autour de ma main inondée de son jus. Christiane râle, gémit, roucoule. Elle est comme étranglée par le plaisir. Enfin, les gémissements de la jouissance s’échappent de sa gorge comme une délivrance, Christiane vient de connaître son premier orgasme en ma compagnie.

Je suis satisfaite, comblée, dit-elle.

Heureuse es-tu !

Les grands yeux tout démaquillés de Christiane me fixent. La peau de sa face me colle sur la bouche. Ses lèvres suaves sont toutes décolorées de leur rouge et la salive s’écume jusque sur son menton. Elle a les traits épuisés mais elle est heureuse, bien satisfaite. Ses tétons pendants et humides sont maintenant sans vie. Les bouts s’irritent à mes touchers, se contractent pour se dilater. Elle prend ma queue et, dans la foulée, me fournit le dentifrice, c’est maintenant accompli, j’éjacule dans la bouche. Ma queue est toute dégoulinante de sperme, j’ai les couilles vidées. Elles se font toutes petites dans leur bourse.

Maintenant, je peux admirer les superbes cuisses toutes en chair, la double bedaine toute ronde et le visage angélique de Christiane. Pour moi, tout cela est beau à contempler car j’aime bien les femmes de son genre, c’est-à-dire, pas trop grosse mais aussi pas trop mince, pas trop svelte mais pas aussi trop petite. J’aime son genre de derrière, rembourré et un peu bombé en arrière et une belle chatte avec des grosses lèvres, le tout dans un petit corps qui ne demande qu’à se faire caresser tout le temps. Monsieur Brown n’a pas le temps et je ne peux que m’en réjouir. « Le malheur des uns fait le bonheur des autres », dit-on.

Tu sais, Christiane, j’aime tout de ton physique. Tu ne peux pas imaginer combien j’ai rêvé en train de te faire l’amour, mais là, vraiment faire l’amour.

Merci ! Je le sais…

Peut-être, c’est aujourd’hui ?

Peut-être, mais…

S’il te plaît, Christiane, peux-je te léchouiller ?

Me faire lécher le minou ?

Oui, …

Mais, je n’ai jamais essayé…

Oui, alors, essaie-le aujourd’hui.

Aujourd’hui… ?

Je voudrai que nous…

Les minutes passent très vite, il fait exactement 28 minutes depuis que Christiane et moi sommes à deux dans une autre pièce, isolés des autres invités. Elle ne termine pas sa phrase quand son mari inquiet commence à l’appeler.

Christi, Christi, où es-tu, ma chérie ?

J’arrive, mon bébé ! J’arrive…

Je dois me séparer de Christiane alors que je commence à bander très fort. Mais, non ! Monsieur Brown me coupe l’appétit. Juste au moment où je voudrais maintenant négocier une pénétration dans la chatte de son épouse, il me fait plaquer par celle-ci. Quelques mots tout de même avant de laisser partir Christiane.

Christiane, j’ai maintenant une folle envie d’aller droit dans ta chatte mais il nous est impossible de le faire dans les conditions actuelles. Rappelles-toi que tu es la femme de mon rêve.

Merci Patrick, mais Brown m’appelle…

Promets-moi que nous nous rencontrerons le week-end prochain à l’hôtel Les Roses à une heure de ta convenance.

Juste avant de me quitter, Christiane me roule une pelle, nous nous embrassons fortement.

Est-ce un signe d’adieu ?

Elle me regarde en souriant. Je comprends qu’elle est maintenant partagée entre son mari et moi, entre l’amour et le plaisir. Elle doit rejoindre rapidement Brown.

Au revoir, me dit-elle.

Je n’ai plus le temps d’insister pour savoir ce que Christiane pense de mon rendez-vous à l’hôtel. Néanmoins, par son sourire de tout à l’heure, je reste convaincu que nous nous reverrons de nouveau en live.

 

Par ROSELYN LAFLEUR - Publié dans : Confessions Intimes
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