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Mardi 17 février 2 17 /02 /Fév 00:28

Votre corps ! Vous l’aimez vraiment ?


En dépit des apparences le but n’est pas de racoler le badaud à peu de frais, mais de parler de votre corps. Des rêves, des cauchemars ou simple utopie ? C’est vous qui voyez, cela n’a de toutes façons pas grand-chose à voir avec la réalité.


Une amie avait dit un jour ce qui suit : « Je ne sais pas vous mais moi j’ai longtemps détesté mon corps. Aujourd’hui je ne peux pas dire que je l’aime à la folie, mais je m’y suis faite. J’en apprécie même certaines parties, comme mon dos (qu’on ne voit malheureusement jamais, j’ai bien pensé à vivre en robe dos nu mais je suis frileuse), ou mes mollets (d’où mes achats compulsifs de jupes sous le genou, quand on estime avoir 10 cm² seulement de corps montrable, on les montre !). »


Et une autre s’écria : « Ah, mon visage ! Il ne m’a jamais posé de problème (enfin quand j’avais 15 ans je voulais me faire refaire le nez, persuadée qu’il était gigantesque, mais grâce au ciel cela m’est passé). C’est plutôt du bol, parce que c’est ce qu’on voit en premier chez quelqu’un et à mon avis c’est le plus important. »


Ce n’est pas si mal finalement, et de toutes façons demandez à un top model ce qu’elle aime chez elle, au lieu de répondre « tout », comme on ferait à sa place, elle bredouille avec des larmes dans la voix « mes orteils, c’est la seule chose que je supporte ».


Sans aller jusqu’à la dysmorphobie (en psychiatrie, angoisse morbide créée par l’exagération d’un défaut physique, souvent peu visible) ; ne rigolez pas, ce n’est pas marrant comme maladie ! Certaines gens croient dur comme fer qu’ils ont le nez au mauvais endroit ou un bras en trop et ils harcèlent à mort des chirurgiens pour se faire amputer du bras en question), personne ne se voit jamais tel qu’il est vraiment, je ne vous apprends rien.


J’ai l’impression qu’on s’occupe plus et mieux de ce qu’on préfère. Je prête toujours beaucoup plus d’attention à mon maquillage qu’à mes vêtements, sachant que du côté corps il n’y a pas grand-chose à faire pour améliorer le terrain, alors qu’il vaut le coup de faire des efforts au niveau du visage.


Et vous les girls, qu’est-ce que vous préférez chez vous ? Y a-t-il une partie de votre corps que vous soignez et mettez plus en valeur que le reste. Peu importe votre réponse, la vraie question est de savoir : Que préfèrent les hommes chez vous ? Ou bien quelle partie de votre corps est plus admirée par les autres ?

Rondeurs, que préfèrent les hommes ?

Tous les goûts sont dans la nature me disait ma grand-mère. Pensait-elle en me disant cela aux fesses méga bien arrondies des stars de la musique et du porno ? Peut-être bien que oui, tant les canons de la beauté féminine n’ont pas changé depuis des millénaires...

Les agences de mannequins voudraient nous faire croire que les ados anorexiques sont les déesses du nouveau millénaire, mais en fait pas du tout ! Les hommes préfèrent largement les femmes qui ont des formes bien rondes et généreuses partout là où il faut !


  Regardez les filles comme Beyoncé Giselle Knowles, Shakira Isabel Mebarak Ripoll, M’bilia Bel, Tshala Muana, et bien d’autres qui sont la preuve. Elles savent jouer de leur anatomie plantureuse pour amadouer les paparazzi (photographes) du monde entier. Quelques fois, ces chanteuses n’hésitent pas de jouer avec leur silhouette en posant les fesses tournées vers l’objectif avec les mains sur les hanches pour bien accentuer leur taille ! Beaucoup de leurs fanatiques adoreraient voir un gros plan de leurs fesses bien remplies de chair.  Sincèrement, depuis l’antiquité, les hommes préfèrent les rondes 

 

Lorsque des rumeurs ont couru que Kim Kardashian allait subir une chirurgie esthétique visant à diminuer l’espace intersidéral de ses imposantes fesses, certains de ses admirateurs ont fait de la fièvre.

 

Epilation, que préfèrent les hommes ?


« Chéri, comment préfères-tu ma chatte ? »


Voilà le genre de questions que nous pourrions imaginer au cœur d’un couple aujourd’hui où l’épilation est devenue un sujet à la mode.


Très tendance, le sexe imberbe


Il existe de nos jours un engouement en faveur de l’épilation pubienne totale ou quasi totale  qui attire beaucoup d’hommes. Venue d’orient, il y a bien longtemps, l’épilation pubienne séduit nos mâles pour différentes raisons. Les plus fréquemment citées  étant  l’esthétique, l’aspect lisse, la douceur et le côté beaucoup plus agréable lors de certaines pratiques sexuelles comme le cunnilingus.

 

Fantaisies à l’honneur

Si le choix est vaste, nos amoureux de forêts déboisées semblent apprécier plus particulièrement le ticket de métro bien net avec sa bande verticale très suggestive. Les autres se penchent sur le classique, le bikini avec toutefois une préférence pour l’exotique avec le brésilien très échancré, l’américain et son petit triangle ou le personnalisé en forme d’étoile, de fleur, de cœur, de flèche ou de flammèche, […] idéal pour les surprises et pour pimenter le quotidien !


Couleurs en fête


Dans cette aventure sans limite, les couleurs sont également à la fête avec des colorations spécifiques qui vous offrent une large palette partant des classiques : noir corbeau, blond doré ou auburn en passant par des couleurs plus fun comme le rose ou le orange.


Gazon non oublié

Mais, il reste des adeptes des poils pubiens, symbole du mystère féminin, qui regrettent amèrement une époque où le poil avait encore droit de cité. Eux parlent avec émotion de cette toison qui dissimule et souligne le sexe tout à la fois. Ils lui trouvent un caractère hautement érotique et déplorent que la banalisation des images pornographiques ait provoqué ce raz de marée et imposé la version sexe des anges.

Mais vous, que préférez-vous ?

 

Encore une fois, tout ceci est une affaire de goût avec vous-même d’abord et entre vous  et votre partenaire ensuite. Choisissez donc l’épilation que vous aimez et n’hésitez pas à réfléchir avant. À une époque hyper sexualisée  pourquoi cherche-t-on tant à rapprocher le sexe des femmes, version sexe des anges, de l’esthétique infantile ?

 

Avec ou sans dessous, que préfèrent les hommes ?

 

C’est une question qui soulève des débats passionnés entre les fervents défenseurs « d’avec une lingerie fine et suggestive » et les adeptes du « sans dessous féminins » préférant l’érotisme de la peau nue.

Alors, avant de prendre parti pris de manière radicale pour les uns ou pour les autres; lisez ci-dessous tout ce qui fait le charme d’avec ou sans dessous.

 

Avec dessous :

 

pour la magie de la lingerie transparente qui souligne plus qu’elle ne cache,

pour incarner toutes les femmes en vous à travers de la lingerie tour à tour ingénue, coquine, diablement provocante ou terriblement sage …

pour se sentir belle grâce à ses parures de dentelle ou de satin,

pour la folle excitation de certains hommes à  la vue d’une paire de bas de soie,  d’un porte-jarretelles aux petits nœuds coquins ou d’un soutien-gorge en dentelle noire,

pour la douce sensation de la caresse à travers l’étoffe soyeuse,

pour le contraste saisissant entre la chair nue et ces derniers remparts de tissus,

pour le changement, la nouveauté, le côté mise en scène.

 

- Sans dessous :

 

pour le plaisir de faire glisser ses dessous féminins qui ont si bien rempli leur mission,

pour le trouble à être déshabillée par des mains expertes ou timides, hardies ou malhabiles, pressées ou lentes à souhait,

pour cet effeuillage, doux prémisse à ce qui va suivre et qui peut se transformer en art amoureux,

pour le contact incomparable de 2 peaux qui se frôlent, se caressent, se touchent, s’étreignent et se mordent ….

pour les mains qui glissent sans aucune entrave,

pour retrouver une nudité libératrice ensemble. 

 

Avec ou sans dessous ?

 

La question demeure mais au final il est indispensable de trancher. Le cœur peut balancer et tout simplement se laisser le délicieux choix selon les jours et l’humeur. Lingerie aux détails malicieux ou franche nudité. L’important étant de profiter de cette liberté qui nous est donnée et qui ne le fut pas toujours.

 

Les tatouages sexy mis à nu !

 

Quelle fille n’est pas restée la bouche ouverte devant le corps entièrement tatoué de Wentworth Miller ou devant les tattoos de David Beckham, […] ou d’autres dieux du stade, du cinéma ou de la musique ? Pas de doute, les tattoos savent faire leur effet autant chez l’homme que chez la femme... Encore faut-il trouver l’emplacement sur votre corps !

 

Où se cache le vôtre ?

 

Ce qu’il faut savoir avant tout, c’est que ce qui rend un tatouage carrément érotique, c’est l’endroit où vous le placerez sur votre corps ! Les recoins et parties intimes sont souvent des lieux parfaits pour rendre un tatouage affolant : sein, pubis, nombril, hanche, fesse, creux des reins, sur l’épaule, dans le bas du dos ou près de la cheville... Vous avez l’embarras du choix ! Et puis rien n’est plus excitant pour votre partenaire de lui laisser deviner, en vous effeuillant doucement, l’endroit où vous cachez ce mystérieux bijou !

 

Tatouages permanents si excitants...


Non, le tatouage n’est plus l’apanage de quelques rockers ou marins au long cours ! Sexy, tribal, c’est un signe d’appartenance à un groupe « fashion ». Sur l’épaule, dans le bas du dos ou près de la cheville, il se fait féminin, un rien coquin. Plus imposant, c’est une véritable déclaration d’indépendance. Attention, le tatouage reste un acte délicat, à pratiquer dans des conditions d’hygiène et de sécurité maximales ! Tout tatoueur consciencieux vous le dira, se lancer dans cette aventure mérite une longue réflexion ! Car une fois tatouée, c’est à tout jamais ! Il existe bien la technique du laser pour l’effacer, mais son coût reste onéreux pour un résultat pas toujours satisfaisant !


Quel motif [ou design] ?


Quoiqu’il en soit, une fois sûre de vous et de l’emplacement que vous lui destinez, reste à choisir le motif ou, disons mieux, le design que voulez pour votre tatouage. Un petit conseil : misez sur le dessin qui vous ressemble ou qui affirme vos goûts personnels, cela le rendra d’autant plus symbolique ! Si l’érotisme est le message que vous souhaitez faire passer, osez vous faire tatouer le nombre 69, ou encore le petit lapin Playboy... Et une jarretière tatouée entourant votre cuisse aura aussi le pouvoir de faire craquer votre partenaire !


Folies [ou coquineries] éphémères !

 

Vous n’êtes pas prête à passer à l’acte ultime du tattoo permanent ? Qu’à cela ne tienne ! Car de nos jours, il existe de nombreuses alternatives temporaires tout aussi sexy... Entre tatouage au henné (durée : de 1 à 3 semaines), tampon encreur (durée : 3 jours), décalcomanie (durée : 2 à 3 jours), autocollant, et peinture sur corps, vous êtes servie ! Pour érotiser son corps le temps d’une soirée ou un peu plus, testez-les, vous connaîtrez vite leurs pouvoirs !

 

Avant de vous lancer dans le tatouage permanent, n’hésitez pas à essayer des tattoos artificiels temporaires. Ils vous permettront de tester le pouvoir de séduction de votre motif et de son emplacement ! Rien de tel pour être sûre de votre choix à 100%.

 

(À lire dans notre prochaine livraison)

 

Les seins, que préfèrent les hommes ?

 

Symboles de la féminité et attributs de la sensualité, les seins sont consacrés comme les plus beaux atouts de la séduction depuis la nuit des temps.


Petits seins, gros seins, seins impertinents, seins pleins, seins ronds ou plats.

Halte aux complexes !


Quel est le volume de la poitrine qui séduit davantage ?

 

 

 

 Quelle est la fille selon vous qui a les seins les plus jolis ?   





Par ROSELYN LAFLEUR - Publié dans : Sexy
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Mardi 10 février 2 10 /02 /Fév 10:52

Elle s’appelle « Sonia Brown ». Elle fait partie de ces nombreuses femmes mariées frustrées parce que mal baisées. Le sexe et tous ses plaisirs lui manquent cruellement durant des années. Parce que Brown son mari ne voit que sa réussite sociale. Il ne vit que pour son travail, ses amis et son sport préféré, le football. Quand il est à la maison, la chatte de son épouse reste loin d’être sa principale préoccupation. Il reste assis devant la télévision ou son ordinateur jusqu’au moment où gagné par le sommeil, il part au lit dormir. Dommage, car Sonia est une femme assez chaude sur le plan sexuel.

En 30 ans de mariage, Sonia n’a réussi à avoir que deux enfants de son mari alors qu’elle en voulait plus. Pendant trois décennies de mariage, Sonia se contente que de quelques relations sexuelles sporadiques avec son mari. Pour protéger sa dignité de femme mariée, elle préfère les plaisirs solitaires où elle se fait jouir à plusieurs reprises, que ce soit avec ses doigts ou tout ce qui lui tombe sous la main et qu’elle peut glisser dans ses orifices.

Ses séances sont très ritualisées. Elle se met nue ou elle reste en petite tenue sur son lit et, pour s’exciter, elle lit quelques chapitres de romans pornographiques qu’elle achète sans que son mari ne soit au courant. Au bout de quelques pages sulfureuses, sa main descend instinctivement entre ses cuisses et elle commence à se masturber. Ensuite, tout dépend de son humeur et de son excitation ce jour là. Elle peut se contenter de ses doigts et de plusieurs orgasmes clitoridiens successifs ou bien il lui faut des caresses plus perverses. Elle se pénètre alors avec tout ce qu’elle trouve à la maison et qui peut ressembler à une queue : banane, carotte, concombre, etc.

Elle vit dans une telle frustration qu’elle est devenue complètement insatiable. Lorsqu’elle réalise que outre de lire les livres pornographiques et la masturbation, elle peut se donner du bon temps en ayant des dates avec des partenaires sur Internet, c’est en ce moment qu’elle fait ma connaissance grâce à ma page perso sur le web.

Après plusieurs contacts de messages électroniques et de photos érotiques avec Christiane Brown, je la rencontre enfin dans une fête entre amis intimes chez une fiancée d’un copain partageant les mêmes fantasmes que moi. Sur le web, Christiane Brown s’identifie sous le pseudonyme de « Sonia Brown ». Ma correspondante est accompagnée de son mari qui heureusement ignore tout de mes relations avec sa femme à partir de l’Internet. Je dois agir comme si Christiane m’est complètement inconnue.

Toute petite et rondelette, cette canadienne d’origine africaine, a des longs cheveux noirs, de grands yeux bruns très excitants, une bouche avec des lèvres pulpeuses et charnues recouvertes d’un rouge à lèvres brillant. Sonia est habillée d’un costume de satin de couleur écarlate qui s’harmonise bien avec la couleur rouge de ses lèvres et les chaussures rouges qu’elle porte. Très court, ce costume laisse entrevoir les longues cuisses de cette black, très séduisante ce soir. Je la désire ardemment et je la veux à moi.

Après un certain moment, nous nous retrouvons comme par arrangement, Christiane et moi, seuls isolés dans une pièce adjacente, c’est apparemment la salle des jeux des enfants du propriétaire de la maison. Assise face à moi, sur un petit canapé, je lui répète une phrase écrite dans ma dernière lettre.

J’aime quand tu m’écris que tu te « sens comme une femme insatisfaite », Sonia.

Oui, inassouvie, je le suis, Patrick !

J’enchaîne en faisant référence à ses photos qu’elle m’avait expédiées auparavant.

Parlons de tes photos. Simplement, elles sont toutes superbes et à mon goût. Comme tu ne peux pas imaginer, depuis, je tripe fort dessus toutes les nuits.

Qu’est-ce qui te captive le plus ?

Evidemment, tu l’auras deviné, ce sont tes seins qui me fascinent le plus.

C’est tout ?

Aussi, j’aime bien ton visage ; tes grands yeux et tes lèvres pulpeuses qui doivent sucer divinement.

Oh ! Mon dieu, Patrick !

Pour tout conclure, dans ces photos, tu es plus que séduisante.

Voilà, Patrick, nous sommes en live ce soir, n’est-ce pas ?

Oui, en face, je peux mieux apprécier ta beauté. C’est merveilleux pour moi car j’ai toujours un faible pour les femmes de ton genre. Plus je te regarde, plus je réalise que tu es le type de femmes de mes rêves. Pour tout dire, Sonia, tu es simplement une déesse.

Je te remercie pour les compliments, Patrick.

Tu sais, Sonia, je voudrais te serrer dans mes bras et sentir ta chair chaude contre moi. J’en serais ravi ; c’est certain.

Tu peux…

Elle ne termine pas sa phrase que j’enchaîne avec mon baratin.

Sonia, je suis heureux de t’avoir enfin en face de moi. Ainsi, je peux bien te regarder sans l’usage de mon Webcam.

Qu’est-ce que je peux faire maintenant pour te rendre davantage heureux ce soir ?

Cette question est posée au bon moment et je ne voudrais pas rater l’occasion que Christiane me donne de lui demander tout ce que je veux car c’est maintenant ou à jamais, ai-je pensé.

Oui, au lieu de me laisser continuer à deviner sous tes habits la forme et les dimensions de tes jolis seins, voudras-tu, s’il te plaît, me les sortir pour que je les contemple en direct ?

Sans perdre une seule seconde, Christiane s’exécute pour mon plaisir. Ses seins sont encore fermes comme des balles de cricket.

Que veux-tu que je fasse encore pour ton plaisir ?

Tu peux te déshabiller devant moi, s’il te plaît.

Sans gêne ni hésitation, Christiane se découvre totalement mais lentement partie après partie. Comme une espèce de call-girl qui ne vous montre que juste assez pour aguicher son homme, Christiane aime faire le jeu des stripteaseuses. En fait, ce genre de spectacle n’est pas nouveau ni pour elle ni pour moi. Plusieurs fois, elle m’a montré son joli corps nu devant le Webcam. Une seule différence ce soir, je l’ai en direct devant moi et, avec mes mains, je peux afin toucher ce corps toujours très provocant sur l’écran de mon ordinateur.

Voilà, je t’appartiens !

C’est le meilleur jour de ma vie !

Christiane est une femme qui sait se rendre attirante et sensuelle dans ses relations avec les hommes. Par ailleurs, avec ses grands yeux et, les couleurs qu’elle y met, ses lèvres, et le gloss qu’elle y applique pour leur donner un effet de brillance et une couleur subtile, elle se donne l’impression d’être une pute alors qu’en réalité elle ne l’est pas. C’est seulement, à force de n’avoir pas normalement son dû conjugal que Christiane a été poussée à trouver satisfaction autrement ailleurs en passant par l’Internet.

Je peux maintenant t’embrasser dans cette tenue d’Ève ?

Bien sûr que oui, Patrick !

Quand je pose cette question, mon regard se croise avec celui de Christiane déshabillée devant moi, cela m’excite davantage. Ce regard me transmet un message que je décode sans trop de peine. « Je te plais comme ça ?  », semble-t-elle me demander, « embrasse-moi tout de suite », semble-t-elle me dire. Je l’embrasse férocement.

Encore là, ses grosses babines sensuelles et suaves et la belle peau chocolatée me donnent l’envie de lécher son corps, spécialement les joues, les oreilles et le cou, les mordre, sans oublier une descente à la poissonnerie. Je sens sa langue se frotter contre la mienne, elle fouille le fond de ma gorge, pour en ressortir la salive bavant d’excitation. J’écume ses joues, son menton, je frotte mes lèvres contre ses lèvres encore et encore.

Tu peux te mettre debout devant moi, s’il te plaît ! Je veux m’agenouiller pour bien regarder la fente entre tes jambes.

Christiane se met debout devant moi en écartant légèrement les jambes. Je la vois rougir un peu, juste assez pour m’exciter davantage. Elle continue à me jeter un coup d’œil complice. Elle fait comme une vraie salope. Ensuite, je me lève pour sentir les odeurs de ses magnifiques lolos que je veux à présent malaxer, titiller, rouler les têtes entre mes doigts, faire durcir et rendre sensibles. « À l’impossible nul n’est élu », en l’absence d’une belle cravate de notaire, c’est mon visage que je place entre les seins de Christiane. Avec mes mains, je taponne la masse de chair molle mais tellement tendre de ses seins. En tout cas, cette fille a des jolis seins qui ressemblent à des ballonnés de jeu. J’aime beaucoup cette forme. Je m’empresse à les lécher, les sucer, les mordre spécialement au niveau des tétons. Je dévore à pleine bouche les bouts durs entre mes lèvres, les fait rouler sur ma langue, entre mes dents. Je mordille, suce de plus en plus vite et avidement cette chair brune, brûlante et sensible. Je bave dessus. Ma salive se repend sur une bonne partie des seins.

Je remarque que Christiane devient rouge réellement. Elle commence à jouer le jeu de la pute en chaleur. Toujours dévêtue debout en face de moi, mon regard se jette maintenant sur son ventre plat, vraiment très écrasé comme si elle n’avait pas d’estomac. Je touche son petit nombril emprisonné entre deux plis de sa jolie peau de femme noire d’Afrique. Je dirige mon regard au niveau de son bas ventre juste là où commencent ses cuisses bien plantées sur ses fesses et son corps de petite femme. J’aime bien les petites femmes plutôt que les dodues, les obèses. C’est juste un choix ! Les grosses sont aussi belles et bien mais je préfère les minces car, une fois nues, elles vous donnent une vue entière de leur chatte. À présent, je me représente en train de baiser Christiane, cela m’excite davantage. Je n’en peux plus. En effet, je commence à bander dans mon pantalon et ma queue me fait mal. Elle veut sortir et se manifester. Je voudrais que Christiane change de position.

Tu peux maintenant t’asseoir sur le divan, Christiane.

OK ! Patrick.

Assise en face de moi, Christiane garde ses jambes jointes. J’insiste de mon regard pour qu’elle écarte un peu ses cuisses protectrices de sa chatte. Elle ne semble pas déchiffrer mon message. J’ai maintenant chaud ; comme Christiane d’ailleurs. Je constate qu’à l’intérieur de ses cuisses, sa peau est maintenant moite, je le remarque à partir du divan sur le quel elle est assise. Juste au moment où je voudrais lui dire d’écarter ses cuisses, enfin, elle les ouvre un peu, elle même. Je ne sais pas comment Christiane a pu se connecter à moi pour discerner mon besoin. Elle écarte ses cuisses encore un peu plus que maintenant je peux voir son clitoris pris dans la fente de sa vulve. Quelques poils autour de celui-ci et c’est tout. En chaleur comme elle est tout le temps, son clitoris est chargé et prêt à exploser. Cela m’excite terriblement.

Christiane, accepterais-tu que je me mette à quatre pattes pour explorer ton vase ruisselant de mouille ?

Oui, vas-y, Patrick !

À ce niveau, je ne voudrais pas rester plongé dans les rêveries comme si nous étions sur Internet m’imaginant en train d’écarter lentement les cuisses de Christiane alors que je l’ai en face de moi. Ayant donné son accord, je tire le petit tissu de sa vulve et là les grandes lèvres de sa chatte gluantes me glissent entre les doigts. Ouvertes ainsi, je frotte du pouce le clitoris en même temps que j’introduis mes deux doigts bien loin à l’intérieur de son minou. Elle se positionne à son aise. Je la défonce le trou à pisse et elle suit le va-et-vient de mes doigts en bougeant son cul d’avant en arrière. Elle en redemande plus. Christiane commence à s’affoler en respirant plus fort et plus vite. Ses fesses branlent la chamade au rythme des coups de doigts. Elle pousse des petits cris en me serrant la main avec ses cuisses. Elle mouille et elle coule davantage comme une fontaine. Je sens les contractions autour de ma main inondée de son jus. Christiane râle, gémit, roucoule. Elle est comme étranglée par le plaisir. Enfin, les gémissements de la jouissance s’échappent de sa gorge comme une délivrance, Christiane vient de connaître son premier orgasme en ma compagnie.

Je suis satisfaite, comblée, dit-elle.

Heureuse es-tu !

Les grands yeux tout démaquillés de Christiane me fixent. La peau de sa face me colle sur la bouche. Ses lèvres suaves sont toutes décolorées de leur rouge et la salive s’écume jusque sur son menton. Elle a les traits épuisés mais elle est heureuse, bien satisfaite. Ses tétons pendants et humides sont maintenant sans vie. Les bouts s’irritent à mes touchers, se contractent pour se dilater. Elle prend ma queue et, dans la foulée, me fournit le dentifrice, c’est maintenant accompli, j’éjacule dans la bouche. Ma queue est toute dégoulinante de sperme, j’ai les couilles vidées. Elles se font toutes petites dans leur bourse.

Maintenant, je peux admirer les superbes cuisses toutes en chair, la double bedaine toute ronde et le visage angélique de Christiane. Pour moi, tout cela est beau à contempler car j’aime bien les femmes de son genre, c’est-à-dire, pas trop grosse mais aussi pas trop mince, pas trop svelte mais pas aussi trop petite. J’aime son genre de derrière, rembourré et un peu bombé en arrière et une belle chatte avec des grosses lèvres, le tout dans un petit corps qui ne demande qu’à se faire caresser tout le temps. Monsieur Brown n’a pas le temps et je ne peux que m’en réjouir. « Le malheur des uns fait le bonheur des autres », dit-on.

Tu sais, Christiane, j’aime tout de ton physique. Tu ne peux pas imaginer combien j’ai rêvé en train de te faire l’amour, mais là, vraiment faire l’amour.

Merci ! Je le sais…

Peut-être, c’est aujourd’hui ?

Peut-être, mais…

S’il te plaît, Christiane, peux-je te léchouiller ?

Me faire lécher le minou ?

Oui, …

Mais, je n’ai jamais essayé…

Oui, alors, essaie-le aujourd’hui.

Aujourd’hui… ?

Je voudrai que nous…

Les minutes passent très vite, il fait exactement 28 minutes depuis que Christiane et moi sommes à deux dans une autre pièce, isolés des autres invités. Elle ne termine pas sa phrase quand son mari inquiet commence à l’appeler.

Christi, Christi, où es-tu, ma chérie ?

J’arrive, mon bébé ! J’arrive…

Je dois me séparer de Christiane alors que je commence à bander très fort. Mais, non ! Monsieur Brown me coupe l’appétit. Juste au moment où je voudrais maintenant négocier une pénétration dans la chatte de son épouse, il me fait plaquer par celle-ci. Quelques mots tout de même avant de laisser partir Christiane.

Christiane, j’ai maintenant une folle envie d’aller droit dans ta chatte mais il nous est impossible de le faire dans les conditions actuelles. Rappelles-toi que tu es la femme de mon rêve.

Merci Patrick, mais Brown m’appelle…

Promets-moi que nous nous rencontrerons le week-end prochain à l’hôtel Les Roses à une heure de ta convenance.

Juste avant de me quitter, Christiane me roule une pelle, nous nous embrassons fortement.

Est-ce un signe d’adieu ?

Elle me regarde en souriant. Je comprends qu’elle est maintenant partagée entre son mari et moi, entre l’amour et le plaisir. Elle doit rejoindre rapidement Brown.

Au revoir, me dit-elle.

Je n’ai plus le temps d’insister pour savoir ce que Christiane pense de mon rendez-vous à l’hôtel. Néanmoins, par son sourire de tout à l’heure, je reste convaincu que nous nous reverrons de nouveau en live.

 

Par ROSELYN LAFLEUR - Publié dans : Confessions Intimes
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Lundi 9 février 1 09 /02 /Fév 21:23
Par ROSELYN LAFLEUR - Publié dans : Voyeur
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Lundi 26 janvier 1 26 /01 /Jan 20:35

Je m’appelle Suzanne, mes amies m’ont gratifié le diminutif de « Suzan », ils le prononcent « souzan ». Je ne connais pas pourquoi le « U » est prononcé « OU » dans mon pseudonyme. Nonobstant sa prononciation, je l’aime bien.

J’aurai bientôt 23 ans. Je mesure 1,70 m et je pèse 77 Kg. Les gens en général et en particulier les garçons m’admirent car je suis très belle disent-ils. J’ai des longues jambes légèrement galbées, qui me donnent un peu plus d’espace lorsque je prends un homme entre mes cuisses. J’ai les fesses rondes pas trop exagérées, une taille délicate prête à se faire enlacer, une poitrine mystérieuse qui aime à se faire caresser. J’ai des longs cheveux qui traînent sur les épaules, la plupart du temps ils sont ondulés. Les garçons disent souvent que mes gros yeux ronds les séduisent. J’ai des paupières d’apparence lourdes, cela donne à mon regard un effet magnétisant et sensuel. Ainsi, pour atténuer les conséquences sur mes victimes, je porte très souvent des lunettes classiques. Je ne me maquille pas assez trop, car mon visage est suffisamment présentable pour que j’envoûte qui je veux. Il faut ajouter à tout ce décor, mes charmantes lèvres légèrement épaisses et rouges qui donnent aux hommes l’envie de me voir jouer avec leur langue dans ma bouche.

Physiquement, en tout cas je crois être attirante car il est très rare sinon impossible que les garçons ne me suivent pas de regard. Mon problème est peut-être mon clitoris que je trouve trop petit et ma chatte pas trop voyante. J’aurai bien aimé avoir un con quelque peu bombé mais c’est un contraire que j’ai reçu. Pour que mon sexe soit remarquable sous mon string, je me rase le pubis que légèrement. Qu’à cela ne tienne, je me sers très bien de ma petite chatte que, sexuellement parlant, je suis une vraie bombe. Quand un homme travaille bien sur mon corps, il explose gravement.

À présent, laissez moi vous raconter une de mes aventures les plus excitantes.

Je le connaissais depuis quelques semaines, il m’attirait beaucoup. Il me faisait la cour pendant que moi je faisais semblant de lui refuser mon corps. Vous noterez que ce ne sont là que des caprices propres aux femmes en général et en particulier celles qui sont charmantes.

Un jour, mon corps avait vraiment envie de faire l’amour. J’avais pris quelques verres d’alcool pour augmenter ma libido et j’étais vraiment au top. Je suis allée chez Antony pour bavarder un peu avec lui. Cependant, l’alcool aidant, sans même réfléchir à mes gestes, j’approche ma bouche à celle d’Antony, je lui roule un patin qu’il en reste sans voix. Je commence à sucer sa lèvre inférieure et lui suce ma lèvre supérieure. Il ouvre sa bouche en fermant ses yeux. Cela me permet de lui glisser lentement ma langue. Je la tourne dans toute sa bouche. Quand je remarque que Antony n’oppose aucune résistance sur ce que je lui fais, sans lui demander la permission aucune, je baisse mon pantalon Jeans bleu qui colle sur moi. Je fais sauter mon soutien-gorge pour pouvoir lui présenter ma poitrine toute nue. Avec ses mains, il palpe mes mamelons puis commence à les téter voracement comme un bébé affamé qui prend son biberon avec avidité. Je rage de plaisir. Je prends sa tête avec mes deux mains, je la dirige vers mon cul. J’écarte mes jambes et Antony a aussitôt compris que je lui réclame un cunnilingus. Je bourdonne comme une marmite au feu, sa bouche chaude aspire toute ma mouille. Après, pour bien exciter mon garçon, je monte dévêtue sur son canape noir au salon et je commence à danser sous un fond de musique de Louise Veronica Ciccone, plus connue sous le nom de Madona. Je bouge les fesses, virevolte, encore et encore, comme une stripteaseuse. Je me caresse les fesses, les seins et le minou en dansant, tout cela juste pour que Antony bande davantage. Pour bien apprécier le spectacle, le pauvre garçon s’assoie à même le sol. Je sors ma langue, je lui fais faire le contour de mes lèvres pulpeuses. Je lève les bras au-dessus de ma tête, mes seins palpitent. Après avoir exécuté tous les mouvements possibles que je connais, je me jette sur Antony tel une tigresse en chaleur, je dévore son pantalon en premier puis son caleçon. Je sors sa queue en pleine érection. Je lui fais une bouffarde. Si sa queue était de la crème, j’aurai aimé la nidifier là dans ma bouche jusqu’à ce qu’elle s’effondre sous l’effet de la chaleur que produit mon corps.

J’avance mes fesses vers Antony et lui demande de me brouter le gazon. Tellement excité, le garçon s’exécute sans difficultés et place ses mains sur ma taille m’empêchant ainsi de bouger mes hanches. Il prend goût à mon petit clitoris. J’écarquille les lèvres de mon vagin pour que sa langue pénètre profondément à l’intérieur. Il suce tellement bien que j’ai envie de crier. J’ai les larmes qui coulent de mes yeux. Je transpire en même temps. J’ai comme un feu qui brûle au fond de moi. Je perds le contrôle. J’ai des sensations inexplicables au niveau du clitoris. Je lutte pour que Antony arrête mais il devient de plus en plus bestial. Il me lape la vulve comme un chien. Tout est en marche, juste le temps d’une respiration, je ne sens que sa langue aller et revenir dans mon chaton, puis, c’est la grande extase, un hurlement de plaisir qui n’en finit plus, je lâche un cri inaccoutumé. J’ai atteint l’orgasme plusieurs fois.

- Ouiiiiii ! Antony, s’il te plaît !

- Lèves-toi, tu veux ?

- Oui, je veux.

Comme domptée, je me lève tranquillement. Sans attendre un quelconque ordre en plus, je me mets à quatre pattes les mains sur la chaise. Je suis extrêmement excitée.

- S’il te plaît, Antony, prends-moi en levrette.

Il s’exécute. J’aime me faire prendre par le fion. Cette positon, me fait goûter le plaisir de rester passive ou, au contraire, de m’abandonner au balancement de tout mon corps, ainsi je peux jouer avec les mouvements de reins pour accompagner le va-et-vient de mon partenaire et renforcer son effet, en même temps, je peux me passer un doigt sur le clitoris.

Après quelques minutes de va-et-vient dans mon anus, lorsque je sens qu’Antony s’apprête à se dégorger sur moi, je me retourne vers lui pour prendre sa queue en plein dans la bouche. Il éjacule là-dans et, ce n’est pas croyable, comme une « victime » dans un Gokkun, j’avale tout son sperme qui se mélange avec l’alcool que j’ai déjà dans le ventre. Je m’en déguste jusqu’à ce qu’il ne reste vraiment plus rien dans ma bouche. Je suis davantage ivre, mais cette fois-ci ivre de sperme. Ce fut un moment unique et intense de plaisir. C’était pour la première fois qu’un homme m’avait fait jouir plusieurs fois au point où j’ai pleuré de plaisir, en tout cas, jamais je ne pourrai oublier cette fantastique expérience.

Par ROSELYN LAFLEUR - Publié dans : Fellation
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Lundi 26 janvier 1 26 /01 /Jan 18:31

Je me suis exécuté immédiatement comme si j’attendais une telle invitation de sa part. Après quelques minutes, je me suis plongé sous l’eau pour descendre à la poissonnerie. Souvenez-vous qu’elle ne portait qu’un string qui ne cachait à peine que le sexe. Quand je commence à étouffer sous l’eau, je me relève pour lécher ses seins à travers son tee-shirt mouillé. Pendant ce temps, sa main est allée chercher ma queue toute raide malgré la fraîcheur de l’eau. Comme stupéfaite, elle me regarde droit dans les yeux et se pourlèche les babines, se délectant à l’avance de ce qui va suivre. Ce geste m’excite davantage. Sans tarder, je pénètre ma queue dans son vagin. Après quelques instants seulement, elle sort ma queue de sa chatte, tourne son derrière vers moi, se cambre puis me fait une drôle d’invitation.

- Sodomise-moi, s’il te plaît !

- T’es sûre, t’es sérieuse ?

- Vas-y, s’il te plaît !

Aussitôt, je m’exécute parce que j’aime bien prendre les femmes dans cette position qui m’offre tout le corps féminin, la taille bien soulignée, les hanches et les fesses mises en valeur. J’aime également cette position parce que la pénétration de la queue se fait au milieu des rotondités charnues de la femme que je peux apprécier tout au long de l’acte sexuel. Cette position me permet de baiser en caressant en même temps les fesses ou m’accrochant aux hanches. Certes, la pénétration est habituellement moins profonde avec cette position parce que les fesses maintiennent l’homme à une certaine distance, mais moi j’ai eu la chance d’avoir une longue verge. En compensation, cela ne me pose pas de problème tant pour le contact extérieur des corps que pour la pénétration.

Ainsi, nous n’avons pas tarder à aller au 7e ciel que d’ailleurs quand ma partenaire sent qu’on va jouir, elle me demande de le faire sous l’eau, ses longs cheveux pris dans le courant marin pour leur donner plus de relief et en même temps dresser nos vêtements dans cette apesanteur sous-marine. Nous étions en train de nous mater quand je me décharge cette fois- ci dans son con. Nous nous émergions. Nous nous s’embrassions.

Pendant ce temps, l’autre couple en était au même moment sous les mêmes formes. Puis, quand nous avons repris nos esprits, nous nous sommes mis ensemble tous les quatre, tout en ayant toujours nos habits et l’eau jusqu’à la taille. Mais, là, nos tee-shirts moulaient bien nos bustes. Les filles se sont vite échangées quelques baisers, puis la brune est venue sur moi et celle au teint clair sur mon copain. Elles nous ont sucé un tout petit peu les queues, histoire de garder l’ambiance.

- Cela vous choquerait de me voir baiser avec ma copine ? demande l’une des filles.

- Pas du tout, sentez-vous libres de faire ce que vous voulez, avons-nous répondu, cela ne nous gênerait pas, au contraire ce genre de scènes nous exciterait davantage, avons-nous ajouté.

- OK ! D’ailleurs, il y a quelques instants vous vous étiez embrassés entre vous ! Nous font-elles remarquer.

Nous sommes un peu gênés.

- Comment avez-vous trouvé cela ? Nous demandent-elles.

- Pas mal, mais bon, on n’est pas gay pour autant, répond mon copain.

La fille au teint clair demande à mon copain de venir m’embrasser de nouveau. Il s’exécute, je me laisse faire. Elle lui demande de me caresser la queue, je me laisse encore faire. Elle lui demande de me sucer. Je me laisse une fois de plus faire. Les deux filles se mettent horizontalement pour que je fasse la planche, puis mon copain me prend la queue, la met dans sa bouche, puis me suce. C’est drôlement bien de se voir sucer par un homme. Je me décharge en peu de temps dans sa bouche, il faut dire que les filles se relayaient pour l’éperonner. Puis vient mon tour de faire pareil à mon copain, je le fais, cela me plaît. Il se décharge dans ma bouche aussi. Comme pour lui rendre son sperme, je colle ma bouche à la sienne, il aspire tout cela avec plaisir.

- Hein ! Les garçons, venez me caresser, crie la fille au teint clair.

Mon copain et moi bandons de nouveau, elle prend nos deux queues, les met l’une à côté de l’autre puis les confie à la brune qui les introduit tour à tour dans son vagin. Et là, nous baisons vraiment à trois. Nous éjaculons l’un après l’autre dans sa chatte.

Il est environ 9 h 30, nous regardons la plage toujours vide de monde. Mon copain et moi recommencions à nous embrasser, nous y avons maintenant pris goût. Depuis plus d’un quart d’heure, les filles sont en train de se taper un 69. Après que les deux aient joui, c’est au tour de la brune de se jeter dans l’eau. C’est donc en ce moment que nous baisions à deux la fille au teint clair. Je raconte les choses très vite, mais cette scène a duré au total 180 minutes.

Revenus à l’hôtel Quipus, c’est maintenant la séance des douches car le sel de la mer sur la peau n’est pas agréable. Nous étions tous les quatre dans la chambre des filles. Les filles se sont mises les premières sous la douche avec tous leurs habits. Nous les avons rejointes habillés aussi mais nous nous sommes tous déshabillés rapidement. C’est alors que les deux filles ont demandé si nous pouvions baiser ensemble dans la douche. Naturellement, mon copain et moi avions accepté la proposition et nous l’avions fait deux fois là sous les eaux de la douche, avant d’aller continuer sur les lits dans notre chambre. C’était sensationnel. Nous n’avons pas arrêté de baiser en changeant les combinaisons possibles. Quelquefois 1 contre 1, 2 contre 2, 1 contre 3, 3 contre 1, ainsi de suite…

Après trois jours de vacances, nous sommes revenus dans notre ville. Depuis là, je ne me suis pas beaucoup revu avec les filles. Aussi, je n’ai plus essayé avec un homme. Car, si c’était possible avec un garçon que je connaissais assez bien, je ne sais pas comment franchir le pas avec un inconnu. Dans tous les cas, je ne suis pas prêt à vivre de nouveau cette aventure.

Par ROSELYN LAFLEUR - Publié dans : Sodomie
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