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Lundi 26 janvier 1 26 /01 /Jan 18:18
 

Nous étions deux jeunes garçons très copains. Mon ami était âgé de 19 ans et moi 20 ans. Il avait un teint clair et moi j’avais un teint sombre. Après une année scolaire bien réussie, nos diplômes de fin d’études en poche, nous étions partis passer les congés au bord de l’océan Atlantique avec deux copines dans le cadre d’un prix que l’une d’elle avait gagné auprès d’une compagnie de téléphonie cellulaire. Elles avaient le même âge mais moins jeune que nous, 18 ans ; c’est à cet âge que les filles sont généralement très chaudes sur le plan sexuel. Comme mon copain et moi, l’une d’elles avait un teint assez clair et l’autre assez brune, un contraste étrange mais plutôt sexy, je vous assure.

Nous nous connaissions très bien avec les filles parce que nous étions tous dans un même collège. Nous avions réservé deux chambres à l’hôtel Quipus, une chambre pour les garçons et une autre pour les filles. Il y avait des grands lits dans chaque chambre. L’objectif était de favoriser les nuits meilleures ensemble soit avec l’une des filles soit avec les deux. Nos deux chambres étaient voisines, au bout du couloir.

La première nuit, mon copain et moi étions trop fatigués ainsi nous nous sommes couchés assez vite. Quelques minutes seulement après que nous avions éteint les lumières, nous commencions à entendre des gémissements dans la chambre des filles. Nous n’en croyions pas nos oreilles, les deux filles étaient vraisemblablement en train de frotter leurs sexes l’un contre l’autre. Il faut dire que nous les connaissions bien, mais nous ne les avions jamais vues avec des garçons. Nous avions pensé qu’elles étaient lesbiennes, et pour ne pas gâter le séjour, nous n’avions pas bougé. Seulement, nous bandions comme des lapins, et nous n’avions pu nous s’empêcher de se branler. Nous étions au lit tous les deux, mon copain et moi sommes très poilus. Nous avions chacun baissé nos caleçon qui laissaient bien deviner nos dicks, le bout ayant déjà laissé coulé du liquide séminal. Nous avions sorti chacun un mouchoir, puis nous nous sommes branlés. C’est pour la première fois que je me masturbais à côté d’un homme. Juste au moment où les deux filles commencèrent à hurler le plus sans doute parce qu’elles étaient en train de jouir, j’ai éjaculé le premier puis mon copain après moi. Nous nous sommes essuyés tout le sperme avant de nous endormir très épuisés.

Le lendemain aux environs de 6 h 30, les filles étaient déjà prêtes, et nous aussi. Nous sommes partis tous les quatre en taxi vers une plage dite La côte sauvage parce que difficile d’accès. Pendant le trajet, mon copain et moi n’avions pas arrêté de penser à la merveilleuse soirée d’hier. Nous étions habillés simple : je portais un tee-shirt blanc, un peu petit pour moi, et un flottant bleu marine. Mon copain avait un tee-shirt noir trop grand pour lui et une culotte rouge. Les filles avaient choisi de porter des microjupes noire et bleue moulantes et des tee-shirts serrés blanc et rose. Nous devinons qu’elles n’avaient pas de soutien-gorge. Elles étaient habillées ainsi avec le désir conscient ou inconscient de s’exhiber à nos yeux. Pour accroître l’euphorie, elles portaient des strings ficelles de manière à pouvoir laisser deviner le bas de leurs fesses et éventuellement le pubis (en position assise). Arrivés à la plage, nous n’étions qu’à quatre. Il faut dire que pendant les jours de semaine, il était très tôt pour qu’une place ait du monde à cette heure là. Sans la moindre gêne, les filles ont commencé à s’embrasser devant nous. Après, la claire est venue sur moi, m’a embrassé en passant sa main sur ma queue. Au même moment, la brune est allée sur mon copain lui faire la même chose. Puis simultanément, elles se sont mises à genoux pour nous sucer les pénis. Nous étions les uns à côté des autres, très proches. Les filles s’échangeaient les bites et s’embrassaient de temps en temps. Il y avait le liquide séminal qui coulait de nos queues. Seulement, notre relation n’était que fellation jusque là alors que j’avais vraiment envie de baiser tout et tout de suite, et les filles l’ont deviné. Tout en tenant nos pénis, elles nous ont embrassés quelques secondes et, soudainement, elles m’ont fait embrasser mon copain. Je n’ai pas cherché à résister, après tout, cela faisait longtemps que je voulais essayer avec un homme. Puis, elles se sont mises à nous sucer de nouveau les trucs, mais mon copain et moi n’arrêtions pas de nous embrasser. Nous avons fini par éjaculer sans que nous ayons eu droit pour le moment aux chattes de ces deux filles. Nous suçant les queues à tour de rôle, je ne saurais même pas dire sur le visage de quelle fille j’ai éjaculé.

Toujours habillées, les filles avaient les tronches couvertes de sperme. Elles se sont mises à se lécher pour se nettoyer. Ce spectacle nous a fait bander de nouveau.

- Qui me veut pour partenaire ? demande la fille au teint clair. 

Franchement, les deux filles étaient très jolies. J’ai toujours eu une préférence pour les brunes, mais j’ai tenté mon coup en embrassant celle au teint clair.

- Moi, … ai-je répondu…

- De toute façon, nous sommes ici pour s’amuser, avait-elle ajouté.

Cette phrase insinuait que le changement des combinaisons était possible. La fille au teint claire m’a pris par la main pour aller tous les deux dans l’eau, avec nos habits, puis l’autre couple a suivi. Nous nous sommes arrêtés au niveau où l’eau ne se limitait qu’à nos hanches. Nous nous sommes observés à travers nos vêtements mouillés moulant ainsi nos corps.

- Caresse-moi, s’il te plaît ! Me dit-elle tout en me fixant droit dans les yeux

(La suite dans les prochaines livraisons)

Par ROSELYN LAFLEUR - Publié dans : Erotisme
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Dimanche 25 janvier 7 25 /01 /Jan 20:14

Après une douche rapide, nous sommes partis en direction du centre ville. Arrivés au parking d’une chaîne de magasins tenus en majorité par des étrangers, je descends de la voiture en prenant soin de bien écarter mes jambes. J’aime beaucoup la sensation que fait le vent sur les babines d’un vagin nu. En effet, sachant ce que je partais faire au centre ville, je n’avais pas porté de slip donnant ainsi plus de chance à ceux qui me regarderont la possibilité de bien voir ma chatte. Je dégrafe trois boutons de mon manteau, en commençant par le bas en relevant un peu à la taille de ma ceinture pour être sûre que l’on peut voir le début de mes fesses. Je pénètre le magasin le plus fréquenté du centre ville. Je pousse donc mon chariot avec nonchalance en me dirigeant vers un rayon des chips, là je prends par exprès beaucoup des paquets que je ne peux pas tenir au même moment. Quand je fais tomber volontairement quelques paquets de chips sur le plancher, devant le rayon charcuterie qui grouille d’hommes et surtout des jeunes arabes que je sais déjà excités, je me creuse les reins pour les ramasser. Tous les jeunes garçons regardent avec étincelle mes fesses sous la minijupe. Cela me fait une drôle de sensation et j’en mouille terriblement.

Lorsque j’arrive devant le comptoir, un bel asiatique de 20 ans environ me demande ce que je veux. Je lui passe ma commande de jambon et lui demande quel genre de saucisson me recommande t-il ? Je me penche très près de sa vitrine sachant que lui de l’autre côté de la vitrine il pourra voir mes lolos durcis et bien galbés. Je vois des saucissons dans un panier sur le comptoir de charcuterie que je tâte en me léchant les lèvres.

- Hmmm ! Est-ce que ce saucisson italien est bon ? Lui dis-je en regardant le garçon droit dans les yeux.

- Je vois que le jeune asiatique se touche la bite avec une main qu’il a dans la poche de son sarrau blanc.

- Madame, peut-être voulez-vous essayer la saucisse sèche libanaise ?

- Hmmm ! Je crois que je vais prendre celle-ci.

- OK ! Madame, elle est bien, celle-là.

- Oui, celle-ci me semble d’un parfait format.

- Irréprochable. Cette saucisse italienne l’était bien parce qu’elle mesurait 10 à 20 cm de longueur et 8,5 à 12 cm de circonférence. Ce sont exactement les dimensions normales d’un pénis en érection.

Le jeune homme me fixe bien dans les yeux et il sourit. Il a sans doute tout compris. Ensuite, il pèse ma saucisse, l’étiquette avant de me la passer en se tenant la nuque. Selon ceux qui ont appris à lire les gestes, un homme qui se tient la nuque montre qu’il est vraiment intéressé.

Pour remercier le jeune garçon, je lui fais un clin d’œil. Un geste juste pour lui dire « T’es vraiment excité, mon bébé ! Malheureusement, tu n’as pas de chance. Je suis déjà en compagnie d’un autre homme et toi tu es encore en plein boulot ».

- Je rejoins Charles qui m’observe un peu plus loin dissimulé dans les rayons des biscuits.

- Alors ! Pas mal le petit jeune Indien ! Me dit Charles ?

Hmmm ! Pas mal en tout cas.

Charles regarde mes seins à peine voilés par le manteau et s’aperçoit que les bouts se sont vraiment endurcis. Il me serre contre une étagère à biscuit. Il écarte les pans de mon manteau pour me passer un doigt vite fait dans le vagin.

- Mais, tu mouilles, ma biche ? s’écrie-t-il.

En effet, je mouille car tout le scénario que je viens de tourner m’a vraiment excitée. Quand Charles me passe son doigt dans la chatte, cela m’allume davantage car je sais qu’il y a des gens qui sont en train de voir la scène. Il m’amène dehors abandonnant le chariot ainsi que mon saucisson à l’intérieur du magasin. Il me conduit au parking et me dit de monter sur le capot de sa voiture.

- Que se passe-t-il, Charles ?

- S’il te plaît, monte sur le capot, je voudrais bouffer ta boîte à mouille.

- Il y a beaucoup des gens par ici, Charles. Ils vont nous voir !

- Oui, mais… allez vas y ! Tu l’as voulu.

Je fais semblant de résister car, comme dit Charles, j’adore bien faire l’amour en plein air. Ainsi, je monte sur le capot et ouvre grandement les deux pans de mon manteau. Ma minijupe n’étant pas un obstacle, Charles a déjà toute la marchandise dépouillée devant lui. Il me lèche la minoutte là dans le parking pendant que plusieurs personnes entrent et sortent du magasin. Certaines passent même à quelques centimètres de nous mais elles font semblant de ne rien voir. Charles m’introduit son doigt dans l’anus. Excitée comme une vraie cochonne, je n’en peux plus. Je me prends les seins et je les caresse sérieusement. Je ne sais pas si cela avait déjà duré 5 ou 10 minutes quand j’ai entendu une vielle femme dire « C’est vraiment triste, quelle honte !  ». Charles enlève précipitamment sa langue de ma chatte tout en maintenant son doigt au chaud dans mon cul.

- Nous exagérons quand même, me dit Charles.

- Mais non, Charles, ce n’est pas son business !

Nous arrêtons nos ébats pour reprendre la direction de la maison, tout en éclatant de rire de voir cette pauvre femme frustrée. Pendant que Charles conduit la voiture, je me passe les doigts dans la chatte avec une main et de l’autre je caresse son pénis que j’ai sorti du pantalon.

J’aime me masturber quand je suis en voiture avec mon copain mais cela est une autre histoire que je vous raconterai une autre fois.

Par ROSELYN LAFLEUR - Publié dans : Exhib
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Dimanche 25 janvier 7 25 /01 /Jan 19:43

Chers visiteurs,

 

L’activité sexuelle est une activité normale pour un être humain. La majorité d’entre nous avons déjà participé à des jeux érotiques pour le plaisir. Certaines personnes sont très privilégiées. Elles ont eus seules ou ensemble des moments idylliques inoubliables. C’est pour vous aider à vous souvenir de ces instants/ou vous préparer à les vivre un jour que je vous amène dans un univers où l’érotisme est au centre de la vie.


Confessions Intimes est un ensemble de récits érotiques quelquefois très osés qui surviennent dans des lieux divers. Différents les uns les autres, ces récits mettent en scènes des  personnages variés qui ne vous laissent pas insensibles. Bien sûr, je ne conte que des histoires d’amour qui me semblent réalistes, d’un point de vue humain.

Les fantasmes les plus hot « brûlants, torrides ou emportés » se retrouvent donc dans les pages de ce blog. Survenant dans des endroits souvent étranges et mettant en scène des personnages divers, ces histoires érotiques ne vous laisseront pas insensibles.


Si vous aimez le sexe en mots, si vous raffolez de la chair des mots, Confessions Intimes vous comblera. Le plaisir sensuel est l’essentiel de la nourriture que je vous propose. Mettez-vous donc à table, savourez mon menu et bon appétit.


ROSELYN LAFLEUR


Par ROSELYN LAFLEUR - Publié dans : Confessions Intimes
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Samedi 24 janvier 6 24 /01 /Jan 20:22
Il est 20 h 30, l’heure où les noctambules « rencontrent » leurs amis sur Internet. Rebecca, alias Baby Ass, en français « petites fesses », pour les internautes, s’installe seule derrière son ordinateur. C’est une jolie caribéenne âgée de 24 ans qui mesure 1,70 m et pèse 70 Kg. Lorsque vous la rencontrez en chemin, vous ne résisterez pas de regarder vers elle pour admirer ses fesses. Elles sont petites mais assez rondes pour vous exciter. Quand Rebecca marche, bien que sous un vêtement, son popotin exécute un ensemble de mouvements involontaires cependant rythmés au son de ses pas. Ce simple beau spectacle qui vous donne l’impression de voir des fesses nues vous allume sans bornes. En contraste avec ses petites fesses, Baby Ass a des gros seins qui ajoutent du crédit à sa beauté. À les regarder même cachés sous le soutien-gorge, ses gros seins vous enivrent inévitablement. Sébastien, le jeune copain de Baby Ass, n’a que 26 ans d’âge. Il mesure 1,72 m et pèse 71 Kg. Ces deux jeunes gens bien bâtis vous meuvent quand vous les rencontrez main dans la main sur votre chemin. Cette nuit-là, comme d’habitude Sébastien est de garde au Centre Hospitalier Universitaire où il travaille comme anesthésiste. Il rentrera probablement vers 24 h 30 et, en ce début de soirée, mademoiselle Baby Ass est en chaleur. Pour calmer ses concupiscences en l’absence de son copain, elle a pris l’habitude de s’adonner à une visioconférence sur MSN. Son interlocuteur habituel s’appelle « Lucien », c’est un pseudonyme, et Baby Ass le sait très bien. Le vieux est semble-t-il âgé de 78 ans. Sans enfants, il a divorcé à trois reprises à cause de ses penchants nudistes. Depuis que la petite Rebecca l’a contacté sur Internet, il ne la lâche plus. Messages, photos et vidéos, tout y passe et ce soir-là, pour la première fois, Baby Ass décide de se montrer en live. Tout dévêtu, le vieux est assis devant son écran plat 17″ acheté au prix de 699€, toutes ses économies annuelles volées en éclat juste pour se payer un PC rien que pour le plaisir sexuel. Lucien attend depuis longtemps que Rebecca alias Baby Ass se connecte sur le réseau Internet. Mademoiselle Rebecca est vêtue d’une simple liquette de satin rose qui ne cache presque pas son léger embonpoint et ses gros seins. La petite caribéenne se branche sur le Net et se fait identifier toute de suite. Que se passe t-il, elle n’a pas d’images sur son écran, son copain aurait-il déconnecté la Webcam à son insu ? Non, elle est juste éteinte qu’il suffit de la mettre sous tension pour avoir les images. C’est maintenant chose faite. Pour commencer, Rebecca dirige la camera sur une photographie de la britannique Michelle Thorne, la star X aux gros seins. – Bonsoir, Baby Ass ! dit le vieux Lucien. Rebecca hésite. La gorge nouée, elle laisse échapper quelques mots. – … (Inaudibles) – Comment vas-tu ? – Très bien, merci, Lucien ! – C’est bien toi sur la photo ? Le vieil homme, épuisé vraisemblablement par son grand âge se remet sur sa chaise, maladroitement, il recale sa Webcam sur sa queue en érection. Pendant ces minutes de maladresse, Rebecca dirige sa caméra sur son ventre en le caressant lentement, puis elle malaxe ses gros seins avant de remonter tout doucement sa chemisette pour dévoiler son petit minou. – Mmmm, non, ce n’est pas moi sur la photo, dit-elle avec hésitation. Elle est contente que Sébastien ait acheté cette caméra pour s’exhiber, elle lui permet de voir sur Internet des hommes en train de se masturber devant son image, devant ses attitudes de petite bourgeoise dégénérée. En imaginant une multitude de glands turgescents dans l’écran de son PC, elle pousse un petit gémissement. Elle commence même à penser sur ce qu’elle peut faire pour qu’on lui paye son exhibition comme une vulgaire putain sur le Net, et là un profond gémissement de plaisir la met en garde. Le vieillard fait un gros plan sur son pénis toujours en érection. – Tu es là Baby Ass ? – Oui, … (mots inaudibles). – Je ne t’entends pas assez bien ! – Toujours là ! – Et toi ? Tu es encore… Il lui coupe la parole. – Dis-moi que tu es une petite pute, vas-y ! – Je ne sais pas, Lucien. – Comment ne sais-tu pas ce que tu es ? – Eh ! Oui, Lucien, je suis une grosse truie. – Tu veux dire plutôt petite cochonne ? – Tripote ta queue pour moi ! Comme un ordre militaire, le vieux se masturbe avec vigueur. – Vas-y, branles-toi la queue pour ta petite pute ! Comme minuté, excité, une puissante décharge de sperme s’extirpe du pieu bandé du vieux, éclaboussant une bonne partie de l’écran de son ordinateur mais surtout de la moquette. Pendant ce temps, Rebecca prend une poignée de Kleenex pour éponger sa mouille qui suinte de sa minoutte. Sans courtoisie, le vieux Lucien se déconnecte aussitôt et il laisse Baby Ass sur sa faim, les cuisses ouvertes, les seins gonflés, le feu dans le cul. Son regard pétillant, elle voudrait malmener sa poitrine, se l’attacher comme dans un film fétichiste et subir le martinet sur ses deux gros seins. Le vieux vient de lui donner une bonne correction un peu comme celle que lui administrait son père quand elle n’était pas sage, « Stop, sinon je vais te frapper ! ». Baby Ass trempe le papier mouchoir qu’elle a en main et doit reprendre un autre. Elle force son esprit à ne pas aller plus loin, mais les cuisses vulgairement ouvertes, une odeur coquine sous le nez, elle hésite encore et toujours. Peut-être qu’elle devrait accepter le rendez-vous de l’un des hommes qui lui sollicite tout le temps une exhibition sur Internet, ou faire un certain tri et accepter une proposition sérieuse, ce genre d’offre pour le prix total de 10 €. – Non, il faut que je m’arrête de penser à cela, sinon, plutôt que de calmer mes envies, cela m’excite davantage, se dit Rebecca. Dans un dernier sursaut d’orgueil, son éducation bourgeoise se rappelle à son souvenir et c’est suffisant pour qu’elle éteigne son ordinateur. Petit détour par la salle de bain où elle enfile une paire de bouchons oreilles, avant d’aller se coucher au lit. Réveillée soudainement à 2 heures du matin, Rebecca perçoit quand même le retour de Sébastien. Elle n’a pas le temps de lui demander des explications sur son grand retard qu’il lui ordonne d’une voix sèche et presque imperceptible. – Ne te tourne pas ! Rendors-toi ! – Hein !… Les heures passent, elle ne trouve plus le sommeil, des idées perverses harcèlent de nouveau son esprit, des visages, des noms et même des souvenirs avec le vieux lui passent par la tête. – Est-il encore debout à cette heure-ci ? Est-il connecté ? Se demande Rebecca au fond du cœur. Elle a toujours eu de bon chat avec lui, mais, hélas, aujourd’hui, ils ont terminé les choses en queue de poisson. Baby Ass en repense à tous ces mots qu’elle a pu échanger avec Lucien. Les minutes passent très vite, il est 3 h 25. Enfin, la fatigue a raison des pensées malsaines de Rebecca, celle-ci se rendort profondément. Dans son sommeil hautement régénérateur, soudainement, ses yeux s’écarquillent. Ils sont en alerte. Rebecca est dos à Sébastien. Comme un gros chien de garde endormi, elle est très animée par la paresse pour se retourner. Elle remarque que Sébastien a le sommeil agité, par instants, des sons sortent de sa gorge et trop souvent, elle perçoit des mots dans ses phrases. Elle vient de décrypter le prénom d’une femme « Jessica ». Qui est encore cette pouffiasse ? Une collègue de travail ? L’une de ces deux jeunettes du passé ou une récente ? Celle qu’elle avait vue une fois : la poitrine bien haute, la taille fine, un cul gourmand et aguicheur ? Celle qui l’avait dénigré le jour où quelques collègues de Sébastien l’avaient honoré dans une salle de réunion ? Sous la couette, l’homme de sa vie vient se plaquer contre elle, dans son dos. Plus que sa chaleur, sa corpulence ou ses bras, c’est sa queue qui vient buter contre les petites fesses nues de Rebecca. Contre ses cuisses marquées par la cellulite, une autre paire de cuisses musclées et poilues vient s’y frotter.
Par EVE LAFLEUR - Publié dans : Voyeur
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Samedi 24 janvier 6 24 /01 /Jan 19:30

 

 

Je m’appelle Elizabeth, « Liza » pour les intimes. J’ai 28 ans révolus. L’exhibition a toujours été un plaisir pour moi. J’aime surtout quand je me dévoile les seins, les fesses, les hanches et les mollets à la demande des garçons, indépendamment du moment, de l’endroit ou des personnes présentes.

 

Plusieurs garçons m’ont déjà dit que je suis jolie, élégante, sexy, très BCBG. Certains garçons admirent mes seins en se retardant sur mes larges auréoles de couleur noire. D’autres garçons font plutôt les éloges de ma chatte épilée en permanence. Que dire de mon cul ? Sans conteste, s’il me faut participer à un concours des fesses, je serais classée parmi les filles ayant les meilleures formes. Ni trop grosses ni trop petites, rondes et un peu allongées vers le bas, avec des belles hanches, mon arrière-train vous emporte quand vous me regarder du dos, sans exagérer, mon cul a une configuration parfaite.

À présent, laissez-moi vous raconter une histoire que j’ai vécue un week-end en début du printemps. Charles et moi avions baisé pratiquement toute la nuit du vendredi et une bonne partie de la matinée de samedi. Je précise en passant que Charles n’est juste qu’un collègue du travail et non mon copain. Mon copain s’appelle Dominique. Seulement, il est pour le moment absent de la ville pour raison de service. Étant une sexy-crazy, je ne peux pas passer plus d’un jour sans faire l’amour avec un homme. Ainsi, en attendant le retour de Dominique, qui est bien conscient de mon vice, je me suis tapée un copain temporaire pour me dépanner à son absence.

Ce week-end-là, j’ai vraiment fait l’amour avec Charles, cela dans toutes les positions possibles et dans tous les coins de mon appartement, de la cuisine aux toilettes en passant par le salon, cela par terre, sur le lit, le canapé, les chaises et les tables. Quand je reprends mes forces, je me lève toute nue et me penche sur la fenêtre de ma maison. J’ai ma tête placée presque dehors et les seins en l’air dans l’espoir que les gens de l’immeuble en face puissent observer le spectacle. À la vue de ma croupe, Charles ne peut s’empêcher de bander de nouveau. Ainsi, il décide de me prendre par le derrière devant la fenêtre. J’adore me faire enculer dans cette position mais aussi l’emplacement m’intéresse bien. Pendant qu’il s’active dans mon fion, mes fesses frappent l’air tout en marquant le mouvement de sa course. En regardant l’immeuble en face de ma maison, je constate qu’un couple nous observe avec l’impression de visualiser Big black wet asses de Tanya Faulkner, alias Vanessa Blue, une actrice afro-américaine aux formes généreuses, qui adore les scènes anales comme jamais personne au monde.

- Hmmm, sincèrement, j’aime quand les gens me regardent en train de baiser ! En poussant mon dernier gémissement, je propose un truc à Charles.

- Tu sais, Charles, il fait beau aujourd’hui, nous pouvons peut être sortir un peu !

Il s’arrête aussitôt et sort sa queue de mon asshole. Il me retourne et je vois dans ses yeux une étincelle de désir.

- C’est une bonne idée, Liza, répond Charles. Seulement, s’il te plaît, ne porte pas ta jupette bleue dont l’ourlet ne se situe qu’à mi-cuisses. Tu ne peux pas t’exposer ainsi dans un magasin d’alimentation qui se situe près de ton domicile !

- Mais non, Charles, nous sommes au printemps, ce n’est pas un vêtement pour la maison mais plutôt pour la saison.

- S’il te plaît, Liza, habille-toi convenablement. Tu mets quelque chose dessus.

- Hein ! Convenablement… je savais que tu ne supporteras pas que j’expose mon corps pour le plaisir d’autres garçons, ai-je ajouté.

- Bien sûr que je peux supporter mais porte quelque chose au dessus, s’il te plaît.

- OK ! Compris, je porte la minijupe en question et, pour que cela n’embarrasse personne, je mettrai un manteau au dessus.

- Pourquoi tiens-tu à porter cette minijupe ? Me rétorque Charles.

- Parce que j’adore exciter les hommes et je sais qu’il y a souvent plein des clients dans les magasins et surtout des jeunes indiens. J’aime le genre arabe, tu sais ?

- Ah ! Je comprends maintenant. OK ! Marché conclu.

Ainsi, je choisis le magasin d’alimentation du centre ville plutôt que celui d’en face parce que proche de ma maison. Cela me donne plus de chance d’avoir affaire à des parfaits inconnus qu’à des personnes qui habitent mon quartier. (La suite de l'article dans nos prochaines livraisons)

Par EVE LAFLEUR - Publié dans : Exhib
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